- - - - Les parents ont tendance à manger leurs oeufs il est donc préférable de les retirer quotidiennement en prenant le support et en le remplaçant. Dès la nage libre les jeunes sont nourris de microvers et de nauplies d’ artémias. - Aphanius mento n’ est pas menacé d’ extinction mais son territoire est sans arrêt rétrécie par l’ activité humaine.Vu l’ étendue de son aire de distribution il est important de ne pas mélanger les différentes souches. Poisson qu’ il est possible de garder en extérieur une bonne partie de l’ année. Dans ce cas le mâle aura des couleurs resplendissantes. Expérience personnelle: J’ ai placé dans un bac de 20 litres plus de 22 jeunes. Pendant longtemps j’ ai cru avoir un seul mâle jusqu’ au jour où je l’ ai récupéré avec d’ autres (4 ) pour les placer en bassin extérieur. Quelques jours plus tard , parmi les poissons restants , un nouveau mâle prit des couleurs. A son tour je l’ ai installé en bac de 80 litres placé à l’ extérieur. Comme précédemment un nouveau mâle apparut parmi les 6 poissons restants dans le bac de 20 litres. |
Conclusion: Dans un groupe conservé dans un volume restreint seul 1 mâle affiche ses couleurs , les autres se confondent avec les femelles. Ne convient pas au bac communautaire car il n’ hésite pas à s’ attaquer aux autres variétés, même aux cichlidés. Personnellement voilà 3 ans que je garde la population Kirk Gôz , été comme hiver ( même sous la glace ), en bassin extérieur . Les poissons s’ y reproduisent très bien. |
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Dans le " KILLI REVUE "de novembre/décembre 2019 édité par le KCF vous trouverez un article rédigé par un membre du KCF spécialisé dans les Aphanius. Il y explique comment il les maintient et les reproduit. Vous trouverez également le récit d’ une expérience concluante du maintien de ce poisson en bassin extérieur dans le " KILLI REVUE " de novembre / décembre 2013 |